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Telos sans filtre
Sans filtre ? (Et c'est quoi, Telos ?)
Telos, c’est un site très sérieux, créé en 2005 par Zaki Laïdi et dirigé depuis 2015 par Gérard Grunberg. Si vous ne le connaissez pas encore, cela prouve qu’on a bien fait de venir sur Kessel !
L’idée de départ (en 2005, essayez de suivre), c’était de réveiller un débat public français gangrené par des idéologies poussiéreuses et animé par des intellectuels à veste en tweed qui croisaient le fer dans les colonnes du Monde ou de Libé. (Au Flore, vers 5 heures. « Tu as lu ma tribune ? – Non, je n’ai pas encore fini de lire la mienne. »)
Sur Telos, on lisait Tito Boeri sur les marchés du travail en Europe, Carmen Reinhart sur la dette, Anthony Giddens sur l’insécurité, Franziska Brantner sur les droits de l’homme, ou Olivier Blanchard sur l’inflation. Jetez un coup d’œil à la liste de nos auteurs : les cinq premiers (il y en a 805 à ce jour), ce sont Rawi Abdelal (professeur à Harvard Business School), Bálint Ablonczy (journaliste, cofondateur de Válasz Online à Budapest), Salah Aboujaoude (vice-recteur de l’université Saint-Joseph à Beyrouth), Yousra Abourabi (professeure à l’université de Rabat), Daisuke Adachi (chercheur à Yale).
Bref, du solide et, pour un lecteur français, du neuf.
Au fil du temps, une équipe s’est constituée et la composante française s’est renforcée, mais avec le même souci d’exigence, de sérieux, et de prise sur les débats mondiaux. Une exigence, aussi, de courtoisie, car nous sommes un peu old school.
Seulement voilà.
Le sérieux, c’est très bien, rester courtois, aussi, mais parfois nous avons envie de nous lâcher la bride. De nous amuser. D’assumer des opinions. De tacler un peu plus dur, à l’anglaise.
C’est ainsi qu’est née l’idée de Telos sans filtre. Chaque semaine, le samedi matin, on s’autorisera désormais un édito un peu plus relevé, écrit à chaud, sans prendre de gants. Avec toujours l’ambition d’ouvrir des angles, d’explorer des pistes.
Ce sera chez Kessel, parce qu’aujourd’hui c’est là que ça se passe, et qu’on a envie de profiter de l’occasion pour rencontrer des auteurs et des lecteurs qu’on ne connaissait pas, bref de sortir de notre bulle.
Et on profitera de l’occasion pour vous résumer les cinq papiers parus sur le site dans la semaine.
Telos sans filtre
Sans filtre ? (Et c'est quoi, Telos ?)
Telos, c’est un site très sérieux, créé en 2005 par Zaki Laïdi et dirigé depuis 2015 par Gérard Grunberg. Si vous ne le connaissez pas encore, cela prouve qu’on a bien fait de venir sur Kessel !
L’idée de départ (en 2005, essayez de suivre), c’était de réveiller un débat public français gangrené par des idéologies poussiéreuses et animé par des intellectuels à veste en tweed qui croisaient le fer dans les colonnes du Monde ou de Libé. (Au Flore, vers 5 heures. « Tu as lu ma tribune ? – Non, je n’ai pas encore fini de lire la mienne. »)
Sur Telos, on lisait Tito Boeri sur les marchés du travail en Europe, Carmen Reinhart sur la dette, Anthony Giddens sur l’insécurité, Franziska Brantner sur les droits de l’homme, ou Olivier Blanchard sur l’inflation. Jetez un coup d’œil à la liste de nos auteurs : les cinq premiers (il y en a 805 à ce jour), ce sont Rawi Abdelal (professeur à Harvard Business School), Bálint Ablonczy (journaliste, cofondateur de Válasz Online à Budapest), Salah Aboujaoude (vice-recteur de l’université Saint-Joseph à Beyrouth), Yousra Abourabi (professeure à l’université de Rabat), Daisuke Adachi (chercheur à Yale).
Bref, du solide et, pour un lecteur français, du neuf.
Au fil du temps, une équipe s’est constituée et la composante française s’est renforcée, mais avec le même souci d’exigence, de sérieux, et de prise sur les débats mondiaux. Une exigence, aussi, de courtoisie, car nous sommes un peu old school.
Seulement voilà.
Le sérieux, c’est très bien, rester courtois, aussi, mais parfois nous avons envie de nous lâcher la bride. De nous amuser. D’assumer des opinions. De tacler un peu plus dur, à l’anglaise.
C’est ainsi qu’est née l’idée de Telos sans filtre. Chaque semaine, le samedi matin, on s’autorisera désormais un édito un peu plus relevé, écrit à chaud, sans prendre de gants. Avec toujours l’ambition d’ouvrir des angles, d’explorer des pistes.
Ce sera chez Kessel, parce qu’aujourd’hui c’est là que ça se passe, et qu’on a envie de profiter de l’occasion pour rencontrer des auteurs et des lecteurs qu’on ne connaissait pas, bref de sortir de notre bulle.
Et on profitera de l’occasion pour vous résumer les cinq papiers parus sur le site dans la semaine.
Par Telos
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Sans filtre ? (Et c'est quoi, Telos ?)
Telos, c’est un site très sérieux, créé en 2005 par Zaki Laïdi et dirigé depuis 2015 par Gérard Grunberg. Si vous ne le connaissez pas encore, cela prouve qu’on a bien fait de venir sur Kessel !
L’idée de départ (en 2005, essayez de suivre), c’était de réveiller un débat public français gangrené par des idéologies poussiéreuses et animé par des intellectuels à veste en tweed qui croisaient le fer dans les colonnes du Monde ou de Libé. (Au Flore, vers 5 heures. « Tu as lu ma tribune ? – Non, je n’ai pas encore fini de lire la mienne. »)
Sur Telos, on lisait Tito Boeri sur les marchés du travail en Europe, Carmen Reinhart sur la dette, Anthony Giddens sur l’insécurité, Franziska Brantner sur les droits de l’homme, ou Olivier Blanchard sur l’inflation. Jetez un coup d’œil à la liste de nos auteurs : les cinq premiers (il y en a 805 à ce jour), ce sont Rawi Abdelal (professeur à Harvard Business School), Bálint Ablonczy (journaliste, cofondateur de Válasz Online à Budapest), Salah Aboujaoude (vice-recteur de l’université Saint-Joseph à Beyrouth), Yousra Abourabi (professeure à l’université de Rabat), Daisuke Adachi (chercheur à Yale).
Bref, du solide et, pour un lecteur français, du neuf.
Au fil du temps, une équipe s’est constituée et la composante française s’est renforcée, mais avec le même souci d’exigence, de sérieux, et de prise sur les débats mondiaux. Une exigence, aussi, de courtoisie, car nous sommes un peu old school.
Seulement voilà.
Le sérieux, c’est très bien, rester courtois, aussi, mais parfois nous avons envie de nous lâcher la bride. De nous amuser. D’assumer des opinions. De tacler un peu plus dur, à l’anglaise.
C’est ainsi qu’est née l’idée de Telos sans filtre. Chaque semaine, le samedi matin, on s’autorisera désormais un édito un peu plus relevé, écrit à chaud, sans prendre de gants. Avec toujours l’ambition d’ouvrir des angles, d’explorer des pistes.
Ce sera chez Kessel, parce qu’aujourd’hui c’est là que ça se passe, et qu’on a envie de profiter de l’occasion pour rencontrer des auteurs et des lecteurs qu’on ne connaissait pas, bref de sortir de notre bulle.
Et on profitera de l’occasion pour vous résumer les cinq papiers parus sur le site dans la semaine.
Telos sans filtre
Sans filtre ? (Et c'est quoi, Telos ?)
Telos, c’est un site très sérieux, créé en 2005 par Zaki Laïdi et dirigé depuis 2015 par Gérard Grunberg. Si vous ne le connaissez pas encore, cela prouve qu’on a bien fait de venir sur Kessel !
L’idée de départ (en 2005, essayez de suivre), c’était de réveiller un débat public français gangrené par des idéologies poussiéreuses et animé par des intellectuels à veste en tweed qui croisaient le fer dans les colonnes du Monde ou de Libé. (Au Flore, vers 5 heures. « Tu as lu ma tribune ? – Non, je n’ai pas encore fini de lire la mienne. »)
Sur Telos, on lisait Tito Boeri sur les marchés du travail en Europe, Carmen Reinhart sur la dette, Anthony Giddens sur l’insécurité, Franziska Brantner sur les droits de l’homme, ou Olivier Blanchard sur l’inflation. Jetez un coup d’œil à la liste de nos auteurs : les cinq premiers (il y en a 805 à ce jour), ce sont Rawi Abdelal (professeur à Harvard Business School), Bálint Ablonczy (journaliste, cofondateur de Válasz Online à Budapest), Salah Aboujaoude (vice-recteur de l’université Saint-Joseph à Beyrouth), Yousra Abourabi (professeure à l’université de Rabat), Daisuke Adachi (chercheur à Yale).
Bref, du solide et, pour un lecteur français, du neuf.
Au fil du temps, une équipe s’est constituée et la composante française s’est renforcée, mais avec le même souci d’exigence, de sérieux, et de prise sur les débats mondiaux. Une exigence, aussi, de courtoisie, car nous sommes un peu old school.
Seulement voilà.
Le sérieux, c’est très bien, rester courtois, aussi, mais parfois nous avons envie de nous lâcher la bride. De nous amuser. D’assumer des opinions. De tacler un peu plus dur, à l’anglaise.
C’est ainsi qu’est née l’idée de Telos sans filtre. Chaque semaine, le samedi matin, on s’autorisera désormais un édito un peu plus relevé, écrit à chaud, sans prendre de gants. Avec toujours l’ambition d’ouvrir des angles, d’explorer des pistes.
Ce sera chez Kessel, parce qu’aujourd’hui c’est là que ça se passe, et qu’on a envie de profiter de l’occasion pour rencontrer des auteurs et des lecteurs qu’on ne connaissait pas, bref de sortir de notre bulle.
Et on profitera de l’occasion pour vous résumer les cinq papiers parus sur le site dans la semaine.